8 août 2006
La petite faiblesse qui me perdra
Oui je suis faible, et non Docteur, je ne veux pas me soigner! Si je vais céder à ma tentation, c'est suite à une conversation cet après-midi avec des collègues. On parlait bouffe, bouffe, bouffe et fondant au chocolat... Et quand on me parle de chocolat, c'est comme quand on parle PSG-OM à un supporter de l'une des deux équipes, il part au quart de tour. Depuis 14'00, j'ai l'odeur du gâteau sortant du four qui me passe sous le nez, j'ai le goût du chocolat dans la bouche et je n'aurais pas passé la soirée sans me faire ce plaisir.
C'est simple, rapide, peu calorique, sain, indispensable à ma survie du soir :-)
Donc, je m'en vais à mes fourneaux remplir mon estomac de ce délice.
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