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Mes Mille Et Une Péripéties Quotidiennes
29 juillet 2006

Le "Pot De Colle"

327_903Je rappelle à tous mes (fidèles?) lecteurs que je ne suis ni anti-hommes ni désespérée, et que je n'ai rien contre les hommes. Si j'écris tant de choses sur la gente masculine, c'est que je suis quotidiennement surprise par le soit-disant "sexe fort" et que je me régale à raconter ces anecdotes qui accentuent mes journées. Les personnes que j'évoque viennent de tout horizon, collègues de travail, amis, simples connaissances, petits amis, famille... Voilà pour le petit récapitulatif.

Venons en à nos moutons et à mon "Pot De Colle" super-archi-méga-vachement-glue. Etant d'une nature indépendante j'aime garder ce côté "solitaire" qui me caractérise même si j'aime être avec les gens et l'homme avec qui je suis évidemment. J'ai besoin de sentir "mon espace vital" autour de moi, ne pas me sentir étouffée dans une relation. Alors le style "j't'appelle toutes les cinq minutes pour savoir où t'es et ce que tu fais", peu pour moi! Je sais bien le faire sentir mais je dois être maladroite ou je me fais mal comprendre car certains ne saisissent pas bien la définition "indépendant".

Et c'est exactement ce qui s'est passé il n'y a pas si longtemps que ça. Au bureau toute la journée, je passais mes journées à entendre "ça va, tu fais quoi? t'es avec qui" et à répondre "oui ça va, je travaille et je suis toute seule dans mon bureau". Quand ma journée de travail était finie, il m'appelait sur mon portable "ça y est t'es partie du bureau? t'es où? tu fais quoi?" et moi "je marche, dans une rue, et oui je ne suis plus au bureau". Une fois chez moi j'entends la jolie sonnerie de mon téléphone me faisant savoir que quelqu'un m'appelait et quand je décroche j'entends un "t'es arrivée, ça y est? mais tu fais quoi?" et moi "je respire...".
Enfin ce harcèlement téléphonique n'est pas comparable à celui quand j'étais en tête à tête avec le "Pot De Colle". Il avait besoin de savoir que j'étais là et se comportait comme un vrai toutou à sa mémère. Alors d'une: je ne suis pas une mémère (:)) et de deux: j'aime pas les toutous! Quoi que je fasse, il était collé à moi, quand je cuisinais, quand je regardais la télé, quand je checkais mes mails, quand je me douchais... Je ne suis pas un monstre et j'aime être bichonnée mais être gluée à un homme 24/7, c'est au-dessus de mes moyens.

J'ai trouvé un bon solvant (type acétone) pour me décoller du "Pot De Colle" et aller voler de mes propres ailes vers d'autres horizons.

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Commentaires
D
et bé Rudy, à force de courrir on finit par atteindre son but, non?<br /> vivre une relation dans un étau sentimental est vite insupportable. mais être avec la personne aimée et génialissime.<br /> le tout est de faire la part des choses<br /> comme dit très justement Xer: 1+1=2 (simple mais si évident à comprendre dans une relation apparemment...)
R
j' cours tout seul, j' cours mais j 'me sens toujours tout seul...<br /> c est vrai qu avoir son espace vital, son indépendance, c est primordial!<br /> et le célibataire (endurci?) que je suis (à l insu de son plein gré!) ne dira pas le contraire!<br /> même si parfois, l idée d étreindre une personne du sexe opposé m effleure l esprit!
D
le patafix mais quand quelqu'un s'est mis dans la tête de coller l'autre, ya rien à faire à part fuire. Pourtant je suis la première à affronter les situations (quitte à ce que ça fasse mal) mais là, rien ne vaut de prendre ses jambes à son cou et courrir... courrir... comme disait Forest Gump!
X
T'as pensé au remède anti-patafix ? <br /> <br /> Au fait , je reconfirme : 1+1= 2 .
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